nouvelle fanfic

bon voilà, je poste cette fanfic aussi sur ce forum ^^


CHAPITRE 1 : DRÔLE DE RENCONTRE
Le château de Graivor était en ébullition en ce jour de fête. Le roi allait faire un discours devant son peuple. Quand il descendit les marches menant aux portes de son palais, la foule hurla de joie cependant, Elrohir, un jeune garçon agé de treize ans n'avait d'yeux que pour la silhouette qui suivait le souverain. C'était Amandil, la fille du roi. Sa beauté n'avait d'égale que sa bonté. C'est d'ailleur de là d'où vient son prénom, dans une ancienne langue oubliée de presque tous, Amandil signifie beauté. Elle aussi avait treize ans. Elle avait un nez aquilin et des pomettes hautes. Des yeux d'émeraude contrastait à merveille avec sa longue chevelure noire qui tombait en cascade lustrée de ses épaules jusqu'au bas de son dos. Son visage ne trahissait aucune émotion. Elle était grande mais sa fine silhouette lui donnait un air frêle seulement, dans ce corps se cachait une force de caractère hors du commun. Elle aidait souvent son père dans les affaires de justice, le roi n'ayant jamais été attiré par les histoires d'injustices et de vols. Elle savait être douce avec les uns et ferme avec les autres. Une qualité héritée de sa mère, morte six ans plus tôt d'une maladie inconnue. D'ailleurs, à chaque grande cérémonie, elle portait la robe que sa mère avait confectionnée. Bleu foncé, manche longues, elle mettait en valeur la peau blanche de l'adolescente. Beaucoup de jeunes nobles l'avait courtisée mais ellene les écoutait que d'une oreille distraite. De fins sourcils surmontaient ses yeux verts rendant son regard énigmatique. A chaque qu'elle posait ses yeux sur Elrohir (courage en langage oublié), le jeune garçon perdait pieds, rougissait et baissait la tête. Beaucoup de gens disaient qu'Amandil était une incarnation de la déesse de la beauté. Elle savait manier les armes et, à chaque fois qu'une bataille se préparait, elle montait sur les rempars et aidait les archers en leur fournissant plus de flèches. Elle était musclée mais restait magnifique. Sa bouche fine avait le sourire facile.
Elrohir, quant à lui était assez petit, blond mais, malgré tout il était très courageux, parfois même un peu téméraire. Un de ses seuls défaut, cependant le plus grand de ceux-ci restait sa timidité. Issu d'une famille très modeste, il n'avait pas d'amis. Il aidait souvent son père dans les champs. Il avait une grande endurance et sa connaissance des armes était très rudimentaire. Il vouait secrètement une adoration à Amandil et, ce jour de fête fut certainement le plus beau de sa vie. Pendant le discours du roi, qui l'ennuyait profondément, Elrohir s'était éclipsé pour se réfugier comme souvent. Sauf que cette fois, alors qu'il s'engouffrait dans une ruelle, quatres adolescent de quinze ans lui ont barré la route. N'ayant jamais été bagarreur, il dit :
- Laissez moi passer s'il vous plait.
En réponse, un poing lui percuta l'abdommen, le pliant en deux, la respiration coupé. Tous éclatèrent de rire. L'un d'eux déclara entre deux pouffements :
- Donne nous tout ce que tu as sur toi.
Et il lui mit un coup de genou dans la tête. Deux autres lui attrapèrent les bras pour faciliter la tâche à leurs amis quand soudain une voix, calme et posée les interpella :
- Lâchez-le.
- Qu'est ce que tu veux toi ? cria l'un des quatre adolescents. Ce n'est pas tes affaires et si tu tiens à ta vie va-t-en !
La silhouette avança, dévoilant le visage de la princesse de Graivor :
- Alors comme ça vous voulez me tuer ? Ne vous gênez surtout pas mais si vous changez d'avis, c'est à moi de vous conseillez de partir.
- V...Votre..Majesté ? bredouilla l'un des types.
Ils se retournèrent et coururent le plus vite possible dans la direction opposée. Amandil attendit qu'ils soient hors de vue avant d'aider Elrohir.
- Est ce que ça va ? Demanda-t-elle
- Oui, merci beaucoup Altesse.
Il effectua une courbette maladroite compte tenu du fait qu'il était encore étourdi à cause des coups reçu.
- Tu peux m'appeler Amandil.
- Mais c'est inconvenant, je vous dois le respect...
- Et ?
Ce simple mot ferma la bouche du garçon. Il l'ouvrit à trois reprises sans qu'un son n'en sorte et finalement capitula :
- Bon très bien Amandil mais si quelqun nous entend, nous aurons des problèmes tous les deux... Moi en particulier.
Elle éclata de rire et dit :
- Mais non, du moment que lorsque nous ne somes pas seuls tu me donnes un titre, tout ira bien. Et tutoie moi ! J'aimerai que nous soyons amis !
- Amis ? Mais nos conditions sociales sont trop différentes... Votre... Ton père n'acceptera jamais !
- Mon père n'aime peut être pas les affaires de justice mais il comprend qu'en tant qu'adolescente, j'ai aussi besoin d'amis. Et si nous retournions faire un peu la fête ?
- D'accord.
Elle lui prit la main et l'entraina vers la place.
- Attend ! Tu ne crois pas que les gens vont se poser des questions si ils nous voient main dans la main ?
Amandil sourit et continua de marcher.
- Je vais te présenter à mon père donc essaye de ne pas être aussi timide...
- Au roi ?! Il s'étrangla presque en pronnonçant ces mots
- Oui au roi. Pourquoi cela te fait peur ?
- Mais il est en plein discours actuellement ! Tu veux l'interrompre ?
- Oui, c'est le meilleur moment pour qu'il fasse ta connaissance.
Il ne put pas continuer ses protestation, ils venaient d'atteindre le pieds de l'estrade où le roi parlait. Sans aucune hésitation, elle monta les marches et vint se poster près de son père. Elle lui murmura à l'oreille :
- Je voudrai te présenter quelqun...
- Ce ne peut pas attendre ?
La foule se tenait immobile et en silence. Amandil fit signe à Elrohir d'approcher. Il hésita et, quand il avança enfin, il était écarlate. Le monarque déclara :
- Et bien mon garçon, qui es-tu pour que ma fille soit si impatiente de me le présenter ?
Il garda le silence donc Amandil lui mit un petit coup de coude dans les côtes.
- Euh... Je m'appelle Elrohir... euh Votre Altesse.
Constatant la détresse de son nouvel ami, Amandil vint à son secour :
- C'est mon ami.
Tous les habitants eurent un hoquet de surprise ce qui eut pour effet de provoquer la colère de la jeune fille. Elle cria :
- Cela pose-t-il un problème à quelqu'un ?
Aucune réponse.
- J'ai posé une question !
- Calme toi ma fille, déclara le roi Ivar.
Elle lança un regard noir à la foule et emmena Elrohir avec elle dans le palais. Il garda le silence quelques temps avant de demander :
- Pourquoi est-ce que tu t'es énervée contre eux ?
- Tu es d'accord avec leur façon de penser? Que sous prétexte que je suis une princesse je dois rester seule et ne pas avoir d'amis ?
- Non, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire... Mais c'était à prévoir non ? Le peuple n'est pas habitué à ce qu'une noble personne comme toi prenne pour ami un paysan tu ne penses pas ?
Elle soupira.
- Oui c'est vrai, j'aurai dû réfléchir. Désolée.
Il sourit :
- Mais je dois dire que je me suis bien amusé quand tu les as remis à leur place...
Elle éclata de rire mais reprit très rapidement son sérieux :
- Il y a cependant un problème, mon père va me sanctionner pour mon écart.
- Te sanctionner ? Mais tu n'as fait que me défendre !
- Ivar ne le vois pas de cet oeil... Pour lui une princesse doit toujours garder son sang-froid ce que je n'ai pas fait...
- Alors je parlerai au roi pour qu'il soit clément.
- Toi ? Lui parler ? Ne le prend pas mal mais tu es vraiment timide et cela risque d'aggraver mon cas...
- Non ! Je suis sûr que je peux y arriver !
- Et que comptes-tu faire ?
- Lui dire que ce n'est pas ta faute mais de la mienne...
Amandil s'écria :
- Hors de question ! Tu risques la prison ou la peine de mort si tu fais ça ! Moi je ne serai que consigner dans ma chambre pour deux jours ! Le jeu n'en vaut pas la chandelle !
- S'il te plait Amandil ! Tu me dis que nous sommes des amis et les vrais amis sont toujours là quand ils ont besoin d'aide !
- Bon c'est d'accord... Dans ce cas reste manger ce soir...
- D'accord mais mes parents ne sont pas au courant.
- Et bien alors viens, allons les prévenir !
Une voix se fit entendre sur le palier de la porte de la chambre d'Amandil.
- Excusez moi Altesse mais une personne veut vous voir et vous aussi messire Elrohir .
- Moi ? Mais jusqu'à il y a dix minutes j'étais un inconnu...
Le serviteur haussa les épaules et repartit. Elrohir lança un regard interrogateur à Amandil. Elle déclara :
- Allons-y, qu'avons nous à perdre ?
Il acquiesça et suivit sa nouvelle amie à travers un dédale de couloirs pour enfin arriver dans une salle spacieuse et circulaire. Un homme portant un long manteau noir se tenait en son centre. Il dit d'une voix blanche et glaciale :
- Entrez et refermez la porte derrière vous.
Les deux enfants s'exécutèrent et ce fut Amandil qui, la première prit la parole :
- Pour qui vous prenez vous ? Savez-vous qui je suis ?
- Je me prend pour quelqu'un de supérieur, ce qui est vrai et oui, je sais qui tu es petite sotte.
Elle s'empourpra de colère et cria :
- Gardes !
Aussitôt cinq hommes armés entrèrent en trombe. L'homme claqua des doigts et tous les gardes s'arrêtèrent net en plein mouvement. Amandil serra les poings et sortit une dague de sa manche.
- Repose ça immédiatement, fit la voix glaciale de l'homme.
- Qu'avez vous fait aux gardes ? Hurla-t-elle
- Ils sont juste figés maintenant repose cette dague... Immédiatement !
Elle ne l'écouta pas et s'élança arme en main. Il l'esquiva sans aucune difficultés, la désarma et lui mit une grande claque qui l'envoya à l'autre bout de la pièce où elle se cogna contre le mur et elle s'effondra, assommée. L'homme s'avança dans l'intention de l'achever quand Elrohir s'interposa.
- Stop ! N'approchez pas !
- Elle m'a cherché, elle va le payer de sa vie.
- Non !
- Ecarte toi de là si tu tiens à la vie !
- Non ! Si vous voulez la tuer, tuez moi d'abord
L'homme eut un sourire peu rassurant et s'avança. Elrohir ne broncha pas, acceptant son destin. Amandil ouvrit ses yeux et vit son ami entre elle et l'inconnu. Il leva sa dague, prêt à frapper Elrohir. elle voulut hurler, se lever et empêcher ce meurtre mais aucun son ne sortit de sa gorge et ses jambes refusèrent de lui obéir. La lame s'abattit sur le jeune garçon mais il resta immobile et, quand la lame ressortit par la nuque d'Elrohir, Amandil hurla de terreur. Le garçon s'affaissa, un flot de sang sortant de sa gorge. L'homme retira la dague et regarda Elrohir s'effondrer. Amandil se précipita pour aller voir son ami. Il se tenait la gorge pour éviter de perdre tout son sang trop rapidement. L'homme eut un rictus mauvais et dit à la princesse :
- Tu peux le sauver et tu sais comment faire...
Elle plaqua sa main contre sa bouche et secoua vivement la tête.
- Tu vas le laisser mourir ?
- J'ai fait le promesse de ne plus utiliser mon pouvoir !
- Alors achève le, il ne mérite pas de souffrir. Lui n'a pas hésité à te venir en aide et toi tu l'abandonnes, c'est tout à ton honneur...
Elle regarda son ami agonisant et, d'un coup, ses yeux prirent une couleur blanche, elle posa ses mains sur la blessure et un chant doux, mélodieux sortit de sa bouche. Aussitôt la gorge redevint intacte.
- Maintenant nous allons parler tous ensemble, déclara l'homme.
- Qu'est ce que vous voulez ? Souffla Elrohir
- Qui je suis n'a aucune importance. Par contre vous, vous êtes très importants. Des grandes puissances cherchent à vous nuir et...
Amandil dit alors d'un ton méchant :
- Vous faite partis d'une de ces puissances !
- L'homme se retourna d'un coup et planta son regard dans celui de la jeune fille :
- Si tu redis une fois ceci, je te tuerai dans d'énormes souffrances. Compris ?
Elrohir sentit son sang se glacer et il regarda Amandil. Elle avait pâlit et regardait ses pieds. L'homme leur tourna le dos. Elrohir en profita pour se rapprocher d'Amandil et lui prit doucement la main en lui murmurant un remerciement à l'oreille. Elle sourit un peu alors que l'inconnu leur disait :
- Ceux qui m'envoient ici veulent vous aider. Personnellement je n'aime guère les enfants et nous allons être obligé de voyager ensemble. Si vous m'adresser la parole sans y être autorisé, je vous tue. Est-ce clair ?
Elrohir prit son courage à deux mains et demanda :
- Nos parents ne sont pas au courant... Et où voulez-vous nous emmener, pourquoi, et comment ?
Amandil serra les dents devant la témérité de son ami. Elle lui écrasa un peu le pieds pour lui intimer le silence mais rien n'y fit, il continua :
- Vous pourriez nous demander notre avis, mais non, vous débarquez comme ça et vous nous dites de dire adieu à nos parents ! Je ne vous suivrai pas !
Amandil ferma les yeux en espérant que cet homme si froid n'ai rien entendu. Peine perdue. Il se retourna d'un coup et fixa longtemps Elrohir, très longtemps. Le garçon ne cilla pas et, finalement un immense sourire éclaira le visage de l'inconnu.
- Tu ne manque pas de courage petit. J'aime ça. Je m'appelle Rùmil.
Sur-ce, il tourna les talons et partit. Sur le seuil de la porte il hésita :
- Rendez-vous ce soir aux portes de la ville.
Amandil demanda alors :
- Et les gardes ?
- Dès que je serai partit, il recommenceront à bouger.
Elrohir bredouilla :
- Où...où allons nous ?
Rùmil l'ignora et disparut dans un couloir. Elrohir lança un regard perplexe à Amandil et dit avec agressivité :
- On avait rien à perdre n'est-ce-pas ?
- Calme toi ! Nous sommes amis mais n'oublie pas à qui tu parles !
- Oh c'est vrai, j'oubliais que madame la princesse est mieux que tout le monde ! J'ai des parents que j'aime et qui m'aime. Comment vais-je leur dire que je pars et qu'il y a des chances qu'ils ne me revoient jamais ? Hein tu peux me le dire Majesté ? Je pense que non vu que tu es dans la même situation que moi !
- C'est la dernière fois que je te le dit, ne me parle pas comme ça !
- Arrête de me jeter ton rang à la figure, je sais très bien qui tu es !
- Majestée, voulez vous qu'on l'emmène au cachot.. Demanda l'un des garde.
D'un geste de la main elle le fit taire et dit :
- Va jusqu'au bout de ta pensée, si tu sais qui je suis, dis le moi.
- Tu n'es qu'une gamine capricieuse et trop gâtée ! Moi je t'ai suivit toute la journée, tu ne m'a pas demander mon avis une seule fois ! Pourtant les amis se concèrtent avant de prendre une décision mais toi non, tu vas où bon te semble sans tenir compte de l'avis des autres !
Elle resta bouche bée avant de dire :
- Je n'aime pas cette description mais elle est juste. Nous avons de gros ennuis et moi je pense à la façon dont tu dois me parler... Bon nous avons plus le choix... Maintenant nous devons le suivre... Allons voir tes parents et ensuite nous irons voir mon père. Cela te convient ?
- Non mais c'est la seule solution...
- Alors on y va.
Il sortirent en trombe du palais au moment où Ivar finissait son discours et il se dirigèrent vers l'ouest de Graivor.

CHAPITRE2 : UN BIEN MALHEUREUX DEPART
Elrohir se précipita à l'intérieur de la maison dont la porte était défoncée. Il monta à l'étage et un effroyable spectacle s'offrit à lui. Son père, sa mère, ses deux frères et sa soeur. Il les trouva tous empilés les uns sur les autres sur le lit comme de vulgaires cochons qu'on égorge. Egorgés, c'est le sort que les assassins leur avait réservé. Elrohir tomba à genoux, des larmes coulant à flot de ses yeux, il se rapprocha doucement de la tête de son plus jeune frère âgé de six ans qui pendait dans le vide. Il prit délicatement ce visage, à présent figé dans le temps, le serra et posa sa joue contre le front du moribond. Amandil se tenait un peu en retrait pour ne pas déranger son ami. Elrohir tourna vers elle un regard remplit de souffrances :
- Ceux qui ont fait ça ne sont que des lâches. Ma famille ne savait pas utiliser les armes. Elle n'avait aucune chance de survie... Il éclata en sanglot et bredouilla :
- C'est trop injuste, pourquoi... Pourquoi maintenant ?
Sous le choc, Amandil répondit :
- Je ne sais pas... Est ce quelqu'un souhaitait les voir mort ?
- Non ! Mes parents s'entendaient bien avec tout le monde !
Amandil prit la main d'Elrohir et lui murmura à l'oreille :
- Viens, partons. Nous allons rechercher les meurtriers et ils seront pendus.
- NON ! Je les tuerai moi-même, et avant ce soir ils seront sous forme de cadavres !
- Arrête de parler comme ça, je sais que tu ne pourrai pas les tuer...
Il dégagea sa main et dit :
- Prête moi ta dague s'il te plaît.
- Pourquoi ?
- Prête la moi.
Elle hésita et, finalement la lui tendit. Il souleva la sa manche gauche et s'entailla tout l'avant bras d'une longue estafilade. Il laissa couler son sang sur le front de chacun des membres de sa famille et dit d'une voix aussi blanche et froide que celle de Rùmil.
- Je fais le serment de vous venger.
Puis se tournant vers Amandil, il dit :
- Tu peux me soigner s'il te plaît ?
Tout de suite, les yeux de l'adolescente devinrent blanc et elle posa ses mains sur l'avant bras d'Elrohir.

la suite

c'est bien ! moi aussi j'en ai une, enfin plusieurs mais j'ai la flemme de les mettre y en aune sur eragon shurtugal pour ceux que ca intreresse
mais je vais en commencer une sur WARHAMMER, comme dan abnet fait sue warhammer 40000

aller vannir tu va pas nous dire que pour celle la aussi tu sèche aller met toi a ton clavier

non, je ne sèche pas mais là, j'ai tellement d'idées que je m'y perd un peu... de plus, j'ai d'énormes problèmes à régler avec un ami et c'est plus important que l'écriture

ok alors prend ton temps

merci de m'accorder ce délai Monseigneur. Votre bonté vous perdra *fais une courbette maladroite* ptdr

C'est vraiment bien ! Y'a beaucoup de morts dés le débuts, ça annonce un masarcre pour la suite !!!

lol tu serai pas un peu sadique sur les bords ? ^^ mais qui te dit qu'il y aura beaucoup d'autres morts ?

Moi ??? Pas du tout ! Heu ... Un p'tit peu peut etre ! Mais il veut venger sa famille donc va forcément y avoir des morts sinon, c'est pas vengeance !

hihihihihihi voui, il va venger sa famille mais ça va aller très vite lool je mettrai pas les détails niark niark niark

me languie la suite alors ! lol

Dommage !!! :p

lool tkt pas, il y aura d'autres mort et je mettrai plus de détails que pour cette vengeance ^^

Génial !!! lol

une vrais sanguinaire

tu va voir avec moi aussi tu va etre servi qd je vais poster

Dommage que ca ne soit pas celle que je voudrai !!!!

moi finalement d'un côté je l'aime bien Armancia, elle fou l'embrouille de partout, ça fait de l'animation

Bein oui, sinon, on s'enuierai !!!

kate a écrit:

moi finalement d'un côté je l'aime bien Armancia, elle fou l'embrouille de partout, ça fait de l'animation

armancia ? t'es sure que tu confond pas kate

Ah, elle parlait d'Amélia ... Ca change tout ! Elle est trop parfaite, c'est ça qui me gêne ! Sinon, elle n'a rien fait de "mal"