yen a un partie que j'ai édité a la page précédente
donc ne commencé paspar la lol
Personnes ne répondit
- Très bien alors, nous agirons demain soir
- Tu as bien dit que vous aviez des espions dans la ville, ne peuvent-ils pas nous aider ? demanda Arya
- Non, et même s’ils le pouvaient ils ne feraient, leur rôle est trop important pour que nous les démasquions, si jamais on échoues. Maintenant il faut nous reposer.
Le lendemain quand Eragon se leva Orik et Cirdan étaient déjà partis avec les chevaux et le feldûnost.
Durant le reste de la journée, les quatre compères parlèrent de la façon dont ils allaient agir.
- Pourquoi veux-tu agir de nuit Amelia , la garde va sûrement y être doublé ?
- Parce que nous n’aurons que d’eux à nous soucier, je ne voudrais pas créer un mouvement de panique permît les passants si nous devons tuer quelques gardes ou magiciens. Nous devons rester le plus discret possible, c’est pour cela que je nous camouflerai, mais cela me demande beaucoup de concentration et je serai vulnérable.
- Mais les autres magiciens ne sentirons pas ta présence ?
- Seulement, s’ils pourraient nous voir en temps normal, auquel cas il faudra vous en débarrasser. Je connais le chemin qui mène aux appartements de Galbatorix, il sera protégé mais nous devrions pouvoir l’atteindre assez facilement, le seul problème sera de rentrer dans l’enceinte de la ville les portes sont fermées la nuits.
- J’en fait mon affaire, dit Eragon. Nous passerons par la voie des aires.
- Tu ne veux tout de même pas exposer Saphira, lança Arya
- Je peux voler sans elle, je l’ai déjà fait.
- Mais cela te prendra trop d’énergie !
- Non, et puis j’ai réussi à remplir ma ceinture. Je nous déposerais donc directement dans la cour du palais.
Le soir venu ils se mirent en route, laissant Saphira seule
- « Bonne chance petit homme »
- « A toi aussi. »
Arrivé aux abords de la ville Amelia dit
- Je vais commencer a nous cacher, nous somme assez près maintenant pour être vus
Arrivé au pied de la ville, Eragon attrapa les mains de ses amies, puis se concentra et doucement il commencèrent à décoller, la tâche était ardu mais elle ne l’épuisera pas trop.
Apres quelques secondes d’ascension ils redescendirent délicatement sur le sol de la cour. Partout autour d’eux des gardes les encerclés mais ne les voyaient. La ville était magnifique mais terriblement effrayante. Eragon étendit alors sont esprit sur un faible rayon pour sentir la présence d’éventuel sorcier, et ils suivirent Amelia qui les guida à travers le palais. Sur leur chemin ils n’eurent juste a se débarrasser que de deux magiciens et quelques soldats dont ils camouflèrent les corps comme ils le purent, mais se qui leur posa le plus de problèmes étaient les sorts qui leurs barraient la route, mais grâce à ses connaissances Amelia réussi à les déjouer.
Quand ils parvirent enfin dans chambre de Galbatorix, ils n’y trouvèrent qu’un immense lit, un simple bureau, et un magnifique pied estale où siéger un sublime œuf de dragon d’un vert très pale nervuré de d’étincelantes veines couleur émeraude, Eragon se tourna alors vers Arya et lui dit :
- A toi l’honneur varden abr du Shur’tugals.
Alors Arya s’avança de l’œuf, elle tendit une main légèrement tremblante et au moment où elle aller toucher la coquille de l’œuf un éclair noire jaillis entre son doigt et l’œuf, dans une détonation assourdissante, qui projeta Arya en l’air et la fit s’écrasait contre le mur dans un bruit sourd et retomba au sol dans le coin de la pièce.
- Elle a perdu connaissance, dit Amelia
Au dehors des voies commencer à s’élever mais une plus puissante les dominas toutes.
- Attendez dehors, je vais voir
Eragon se précipita dans le coin de la pièce et dit à Amelia :
- Cache- nous.
Au même moment un ombre entrer dans la pièce, il était plus petit que Durza et avait les cheveux noir, il alla devant l’œuf et passa un gant à sa main, il en toucha alors le dessus de l’œuf et une fine membrane noire disparu de la surface de l’œuf, et prit alors l’œuf et l’examina, puis il le reposa et passa sa main au dessus aussitôt la membrane se reconstitua autour de lui.
« Il me faut ce gant » se dit Eragon, il dégaina alors son épée et se jeta sur l’ombre, mais celui-ci parvint tout de même interposer sa lame malgré l’effet de surprise dont bénéficier le dragonnier, alors le combat s’engagea, Eragon dressa alors toutes ses protections bien décidé à terminer ce combat à l’épée, il enchaîna alors toutes ses feintes en direction du cœur de son ennemi, il était moins fort que Durza mais beaucoup plus agile se qui ne faisait pas les affaires d’Eragon, mais quand l’ombre ne cessa de protéger son cœur, le garçon décida que c’était le moment d’en finir, et alors l’ombre dans les jambes qui tomba à genoux, il n’eu pas le temps de réagir qu’Eragon lui coupa la tête. Son corps se décomposa, et Eragon ramassa le précieux gant, il prit l’œuf et dit à Amelia :
- Tu pourras la porter ?
- Oui.
Il sortir alors de la pièce, mais une vingtaine de gardes les y attendaient
- Brisingr ! s’écria le garçon
Et une immense boule de feu parcouru le couloir en tuant tout les garde et mettant le feu au palais, et il fit s’écrouler le couloir derrière lui, et ils s’enfuirent.
Quand ils parvinrent enfin à sortir à l’extérieur ils atterrirent dans une petite ruelle éclairé par quelques lanternes. Eragon contacta Cirdan qui lui montra où ils se trouver, et sans perdre de temps il lui envoya l’œuf qui disparu dans un éclair bleu. Il voulu alors contacté Saphira pour qu’elle vienne les chercher mais il n’y parvint pas. Ils continuèrent alors à pied et au coin d’une ruelle, il aperçu Murtagh, Eragon voulu dégainer son épée…
- Non ! cria son ancien ami
Et l’épée resta figé dans son fourreau.
- Je doit reconnaître que tu es plus fort que moi à l’épée, mais tu ne m’égalera jamais en magie alors rend moi l’œuf.
Eragon regarda alors derrière lui et vit les deux personnes qui comptais le plus pour lui, il devait absolument vaincre Murtagh, il se jeta alors dans son esprit tel un bélier sans essayer de chercher une faille dans l’esprit du dragonnier, il dut puiser toute l’énergie de sa ceinture pour parvenir à briser ses défenses, et quand il fut dans son esprit il cria :
- « Jierda ! »
Il vit alors Murtagh tomber au sol, jambes et bras brisés, et il perdit connaissance, et au loin il entendis un terrible rugissement qui déchira le ciel.
- Tue le ! lui dit Amelia
Eragon s’avança alors de son frère, mais une voie lui dit :
- Ne le tue pas !
Et une superbe jeune femme s’interposa entre eux, elle faisait la taille d’Eragon, ses yeux étaient noir tout comme se cheveux qui étaient coupé assez cour à part quelques mèches, et pour seuls vêtements elle portait une armure noire brodée d’or qui lui protégeai le bas ventre, la poitrine, les tibias, et les avants bras, ainsi qu’un voile de tissus noire et sang attaché à sa ceinture. Elle possédait également deux épées courtes une était attachée verticalement dans son dos et l’autre horizontalement au niveau de son bassin.
- Qui es-tu ? demanda Eragon
- Je suis Gwenlaen fille de Tornac et amis d’enfance de Murtagh, et je ne te laisserai pas lui faire du mal, je ne sais se que Galbatorix lui a fait mais il y a encore du bon en lui, et je fait tout mon possible pour préservé cette partie de lui, alors partait je ne vous retiendrez pas mais laissez le.
- Non je ne partirai pas comme ça, lança le garçon
- Alors bat toi !
Et elle dégaina ces épées et se jeta sur Eragon, il tira alors la sienne et para son attaque, il se rendit vite compte que c’était une adversaire de taille, son père l’avait bien entraînée, et se style de combat le déconcerté, volant y mettre un therme il murmura quelque chose et elle s’évanouis.
Il se pencha alors sur Murtagh et sonda son esprit, il était encore plus chaotique que la dernière fois, mais a sa grande surprise il y trouva une partie qui lui était familière et qui lui rappelai son ancien ami il voulu y pénétrer mais il fut violemment repoussé, et une série d’images défilé dans sa tête.
Quand il se releva il dit à Amelia :
- Allons-y Saphira nous attend un peu plus loin.
- Eragon tu dois le tuer, il est trop dangereux !
- Il m’a épargné au plaine brûlante, alors je ne le tuerai pas, … pas tout de suite. Maintenant allons-y !
Quand il retrouvèrent Saphira, ils placèrent alors Arya toujours inconsciente entre eux deux
- « Vous avez réussi ? » lui demanda Saphira
- « Oui on a réussi, maintenant partons rejoindre Orik et Cirdan »
Quelques heures plus tard ils les eurent rattrapés et se posèrent, Eragon alla voir Cirdan
- Donne moi l’œuf je vais le porté à la reine, en attendant je veut que tu prenne soin d’Arya, elle ne va pas bien, mais faites attentions des troupes sont après vous, et s’ils maintienne leur vitesse il vous rattraperons bientôt, alors ne vous arrêtés pas, je vais aller à Ellesmera avec Amelia, et je reviendrai vous aider le plus vite possible
- Très bien
- Bonne chance
Eragon prit l’œuf, fit descendre Arya et redécolla.